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La tentative anti-Bitcoin de Craig Wright a provoqué l’effet inverse

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La tentative anti-Bitcoin de Craig Wright a provoqué l’effet inverse

 En réalité, le fond de la déclaration de l’Australien Craig Wright est à l’origine du mécontentement des fans de la cryptomonnaie. En effet, le chef du département scientifique de nChain a fait semblant de parler au nom de Satoshi Nakamoto, l’auteur du livre blanc de Bitcoin.

Son dernier comportement semble favoriser le Bitcoin. Bien entendu, Wright a intenté plusieurs actions en justice contre la violation des droits d’auteur perpétrée sur certains sites d’hébergement de ce document. Grâce à toutes ces interventions au niveau de l’instance juridique, Bitcoin a réussi à développer encore le nombre de ses adhérents de partout dans le monde. A vrai dire, l’hébergement du livre blanc en question s’est élargit sur des sites sous haute surveillance des gouvernements des trois continents.

Une demande de retrait d’hébergement du document a été ordonnée

D’autant plus, au début du mois, le promoteur de Bitcoin SV(BSV),Wright, a ordonné les opérateurs des sites Bitcoin.org et Bitcoincore.org de ne plus insérer  ce livre blanc dans leur page de publication pour la simple raison qu’ils ont enfreint ouvertement les lois sur les droits d’auteur en agissant de la sorte. Par la suite, l’instance dirigeante de Bitcopin.org a cédé devant cette demande de retrait tandis que le staff deBitcoincore.org ne se laisse pas faire face à de telle tentative de domination.

A vrai dire, l’intervention deWright ne laisse pas indifférent la grande majorité des opérateurs en Bitcoin.En consequence, ils ont pris la décision d’héberger le livre blanc sur leur plateforme en signe de contestation à cette nouvelle disposition. Parallèlement à cette réaction massive, ils n’ont pas cessé de soutenir que de tel valeureux document ne doit pas appartenir à n’importe qui que ce soit, il fait partie intégrante du patrimoine culturel mondial. Ce qui fait ressortir qu’il est normal qu’il soit intégrer dans le cadre du domaine public. A cet effet, les prétentions de Wright relatives à la possession du droit de propriété sur le document mis en jeu ont été refoulées en bloc. Suite à cet agissement déplorable, certains membres de la communauté des adeptes du Bitcoin l’ont baptisé de “Faketoshi”. Sur le continent américain, c’est Patrick Mchenry, un membre du congrès qui fait partie de la commission des services financiers du Congrès qui prédomine l’arène du secteur. Sur ce point, il a fait une publication PDF du  livre blanc sur son site internet. Par la suite, il n’a pas manqué d’ajouter que les hautes personnalités politiques doivent se positionner du côté de l’innovation et des nouvelles créativités. En agissant ainsi, la libre concurrence au niveau du marché américain ne fait que faire progresser le pays. Et de rajouter que d’autres membres du gouvernement sont invités à partager cet avis. Par ailleurs, en Colombie, Jehudi Castro Sierra, ancien vice-ministre de l’économie numérique, a également fait une publication du livre blanc  sur un site Web de son gouvernement. Il en est de même pour Sten Tamkivi, responsable produit chez Topia en Estonie. Il a publié un lien vers un site du gouvernement estonien qui a hébergé, en ce moment, le livre blanc tout en laissant entendre « Challenge accepted and met ».

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